J’ai voulu travailler sur la question du masque. J’ai commencé par nouer les masques entre eux mais cela ne m’a pas convaincu. En m’inspirant du serpent d’océan de Huang Yong Ping, j’ai décidé de faire un dragon qui représenterai la résistance face au Covid. Cela est renforcé par les masques qui viennent directement de chine ainsi que la figure du dragon. Le choix des matériaux à egalement son importance car ils est fait à partir d'éléments recyclés.
Son nom est Drac 14683. Drac se réfère à une abréviation du mot "dragon" car le masque est devenu un objet du quotidien c'est comme un surnom affectif. Ensuite le nombre 14683 correspond quand a lui au numéro de la norme des masques.
Par la suite j’ai eu envie de travailler sur la question du numérique. En m’inspirant de l’exposition de Elly Oldman j’ai donc décider de partir sur la réalité augmentée.
Cette figure de dragon s'oppose à la réalité de la situation actuelle entre fiction et réalité. D'un côté le dragon est une représentation fictive, quelque chose que l'on ne peut pas voir. d'une. autre part, le virus lui est totalement réel. La retranscription de ce dragon dans un monde virtuel permet de monter quelque chose d'invisible comme le virus, on ne peut pas le voir a l'oeil nu.
Cette machine est une suite de reaction en chaine qui permet lorsqu'elle réussi de lancer une musique.
Son nom vient de son processus de création dans lequel à chaque essai était un échec. C'est donc devenu une machine qui échoue en boucle.
La musique qu'elle diffuse à la fin c'est Never Gonna Give You Up de Rick Astley. Une chanson surtout utilisée pour faire des blagues. Donc même quand la machine réussie, elle n'est bonne qu'a faire une blague. Une sorte d'ironie.
A la base une machine est sensé être plus performante qu'un humain sauf qu'ici ce n'est pas le cas, c'est une machine qui échoue en boucle soit en arrivant pas à son terme soit en faisant une blague.
Cette oeuvre à été realisé sur le sujet "Espace(s)" issu du concours général des lycéens.
Cette oeuvre à été realisé sur le sujet "quantité qualité" issu du concours général des lycéens.
Nous avons construit une maquette qui se nomme Martin. Construit en bois et en cotons nous avons rajouter des LED qui sont faites pour éclairer le coton qui donne un effet de fumée sur le sol. Le bois a servi a construire la maquette de cette statue en forme de robot qui aurai la Terre dans une de ses mains. Nous voulions dans un premier temps faire tourner le réacteur qui se situe au dos, sa tete et la Terre pour la rendre plus vivante mais nous n’avons pas réussi a l’intégrer dans notre maquette par faute de temps .
Nous avons fait cette sculpture pour commémorer le sauvetage de la Terre grâce aux robots car nous pensons que les robots pourront nous aider contre la lutte du réchauffement climatique. Ils réussiront a faire disparaître tout les déchets de la Terre donc la statue sera construite pas longtemps après elle fait 2mètres et sera placé devant le musée des sciences de paris car il y a l’accord de paris qui est lutte pour le dérèglement climatique.
Pour cette structure nous avons été inspiré par la statue de la libertée.
Elle a été construite par Gustave Eiffel en 1886.
Nous nous sommes inspirés par sa pose et le symbole quelle represente, nous avons donc cherché a faire une statue aussi symbolique.
La statue de la Libertée comemore le lien entre la france et les Etats Unis tandis que Martin comemore le sauvetage de la terre.
Pour ce projet j’ai choisis de travailler sur la liberté d’expression.
Dans cette mise en scène j’ai voulu monter une personne qui essaye de retirer ce masque qu’on lui aurai imposé, il essaye de se débarrasser de cette interdiction d’expression.
Ce masque est fait d’une bouche qui aurai été cousue pour empêcher à quiconque le portant d’exprimer ses idées.
Dans le fond on peut constater qu’il y a des petits points rouges, cela me fait penser aux taches de sang de tout celles et ceux qui ont lutté pour la liberté d’expression.
Je n’ai pas voulu faire quelque chose de trop compliqué sur le masque car à mon sens la liberté d’expression des l’un des droit les plus précieux et simple dans le monde. Son aspect « non fini » et « moche » renvoie quant a lui à ce combat encore malheureusement inachevé.
Pour cette mise en scène je me suis inspiré de la photographie de Cindy Sherman #413. J’aimais bien cette impression étrange que j’ai eu dès la 1ere lecture et c’est cette impression que j’ai essayé de recréer. J’ai aussi voulu lui donner un coté plus sombre comme si le personnage était torturé pour monter que pleins de pays ne possèdent toujours pas ce droit.
Dans ce projet j’ai voulu dénoncer la déforestation a travers une illusion d’optique ou l’on peut voir un arbre se transformer en une flamme. J’ai fait beaucoup de tests avant d’enfin trouver une idée qui me plait. Pour ce projet j’ai choisis d’utiliser la pointe sèche car je préférais que les contours soient en noir et le fond en blanc plutôt que l’inverse. Le fond n’est pas uni, pour le coté feu, cela représente la fumée tout autour et pour le coté arbre cela représente le ciel. Même si le sujet n’est pas le même, mon projet se rapproche d’une gravure de Otto Dix qui s'appelle « Assaut Sous Les Gaz ». Une gravure qui veut dénoncer les violences de la première guerre mondiale. Le ciel y est assez sombre et l’ambiance est assez dérangeante. Bien que mon travail est très loin de celui d’Otto Dix, c’est un peu un message aussi fort que j’ai voulu faire passer car la déforestation est un sujet qui touche tout le monde. On pensera notamment a l’incendie qui a ravagé la foret Amazonienne en aout 2019.
Nous avons voulu raconter l’histoire de deux extraterrestres qui se rendent sur la planète Terre quand soudain ils trouvent un maïs qui semble être normal... Mais lorsqu’un fermier débarque, va tenter de tuer les extraterrestres mais son tire atteint le maïs... Ce dernier, dans déchaînement d'éclairs va lancer une malédiction sur le fermier et va se retrouver sous un amas de pop-corn pour le restant de ses jours. Les extraterrestres s’enfuient en se moquant du fermier.
En premier choix de l’histoire nous avions pensé que les extraterrestres auraient ramené le maïs sur leur planète, mais qu’ils se seraient trompés et que ce n’est qu’un maïs tout à fait ordinaire. Ou même que le maïs aurait pu être le carburant d’une machine . Nous avons abandonné ces idées car les chutes ne nous convenaient pas.
Ces planche de BD ont été inspiré par « Le Maïs De La Vie » photographier par Yves Tremorin. Nous avons décidés de faire ces planches aux crayons de couleur pour avoir des couleurs plus atténué ou intense .Nous avons aussi décider de ne pas mettre de dialogue mais plutôt des signes pour que les lecteurs comprennent mieux ce que les personnages disent . On peut voir deux planches presque identiques, c’est un choix que nous avons fait pour faire une sorte de boucle.
Multivers est un montage de plusieurs photos pouvant se regarder dans n’importe quel sens, ce qui matérialise les différentes visions que chacun peut avoir.
Pourquoi « Multivers » ?
La disposition des images me font penser à plusieurs portails qui mènent vers différents horizons.
Ici j’ai voulu mettre l’accent sur la nature qui « reprend ses droits » suite au confinement.
La 2e chose que j’ai cherché à mettre en avant c’est la présence humaine qui se fait discrète.
Premièrement on peut voir que sur le panorama en bas il y a les 3 générations de bâtiments du plus vieux au plus récent avec une forte présence de végétation. En regardant l’image a droite on y voit une benne a ordure qui semble prolonger le self sur sa droite. Au dessus on peut voir 2 couloirs qui s’assemblent comme un miroir avec sur la droite 2 personnes marchant vers le fond ce qui illustre la présence humaine. L’autre coté, à l’inverse il y a un couloir plus lumineux mais où le rapport humain se fait très discret. Enfin sur les 2 photos du haut on voit une nature tellement envahissante que l’on penne a voir les bâtiments.
J'ai choisi cette image pour faire mon cyanotype car c'est l'une des photos que je préfère parmis toutes celles que j'ai pris. Mais également c'est l'une de celle qui avait le format le plus adapté sans avoir à beaucoup recadrer mon image. Je trouve que le résultat donne un aspect plus sombre que j’aime bien. Je trouve cependant qu’il y a un peu trop de bords a mon gout.
Le cyanotype est un procédé developpé au 19e siècle. Il a été mise au point par le scientifique et astronome anglais John Frederick William Herschel.